dimanche 30 septembre 2007

Nous autres français, on est les plus beaux ! Pas sûr...

La France est un beau pays, et il fait bon y vivre. Excepté peut-être l'Italie, c'est celui que je préfèrerai pour y finir mes jours.
Néanmoins, pour avoir passé près de 50% de ma vie professionnelle hors de France, je suis assez bien placé pour avoir du recul dans mon regard sur mon pays. Et en ces temps où notre nouveau président en rajoute une couche pour mériter le reproche d'arrogance que nos amis étrangers sont fondés de nous faire, j'ouvre une rubrique dans ce blog : Nous autres français...
Au lieu de donner des conseils au reste du monde, j'essaierai de brocarder certains travers bien français, ou de montrer qu'à l'extérieur de la France se font des choses plus sensées.

Tout ceci en me rappelant ce que l'on me disait au Québec au début des années 80 quand j'ai travaillé un an à Montréal :
"Si tu veux gagner beaucoup d'argent, tu achètes un français au prix qu'il coûte, et tu le revends au prix qu'il croit qu'il coûte !..."

jeudi 27 septembre 2007

Une chanteuse qui parle, c'est mieux qu'un politicien qui chante !

Et en plus, dans le cas d'Emily Loizeau, une chanteuse qui chante, c'est mieux qu'un politicien qui parle.
Regardez cette interview pour le journal Metro le 24 septembre dernier :


envoyé par nzouaia

Sans commentaires, si ce n'est un coup de chapeau à la demoiselle.

Larousse en 6 volumes, édition 1928

Mon grand-père paternel était facteur à Saint Etienne, et avait à coeur que ses enfants fassent des études et grimpent dans l'échelle sociale. A cette époque, comme à celle de mon père, on faisait tout pour que ses enfants réussissent mieux que soi-même dans la vie, et c'est ce qui se passait bien souvent. Depuis, les temps ont changé ; que l'on ait pas trop à leur donner pour aider nos enfants est déjà un objectif pas facile à atteindre...

Mon grand-père Gabriel avait donc fait l'acquisition du Larousse en six volumes en 1928, un achat probablement très important pour le petit salaire qu'il touchait de la Poste.
Peut-être cela a-t'il contribué à ce que mon père fassent des études supérieures, et intègre Saint Cyr qui, à cette époque avait une renommée comparable à celle de Polytechnique.

J'ai hérité de ces volumes, qui figurent en bonne place dans ma bibliothèque. On peut y remarquer à droite un volume supplémentaire, le Larousse Ménager Illustré. Probablement, un volume "gratuit" proposé par le vendeur à la commande des six volumes...
J'imagine que ce Larousse Ménager était là à l'attention d'une soeur ne faisant pas d'études... Mais je n'ai pas de tante, donc peut-être pour la maman !




Je ne résiste pas au plaisir d'en sortir une image des plus instructives !

lundi 24 septembre 2007

Courbon & Barrière, du Mont Pilat



Mes ancêtres paternels viennent des communes de la Loire de St Genest Malifaux et Marlhes, ainsi que St Régis du Coin, commune créée vers 1870. Jean-Pierre Courbon était facteur rural, Gabriel facteur urbain. Digne successeur de "postiers" de pères en fils, j'ai moi-même émargé un temps au budget de France Télécom. Et mon frère travaille à La Poste...


jeudi 20 septembre 2007

Certains honorent leur profession, d'autres pas...

Dans un billet précédent, j'évoquais les quatre procès intentés par mes voisins, et tous perdus par eux. J'aimerais revenir sur ce triste épisode pour rendre hommage aux juges du Tribunal de Grenoble qui ont eu à s'occuper de ces affaires et dont je donne les noms ci-dessous :
  • Monsieur R. Roux

  • Madame A. Robert-Marquois

  • Madame A. Gaillard-Maunier

  • Monsieur J.-Y. Chauvin
J'estime en effet que ce sont des dizaines d'heures que ces juges ont dû consacrer à des procès qui n'étaient que de mesquines tentatives de spoliation dont Julien Courbet aurait pû faire ses choux-gras ! Ils ont dû prendre connaissance de dizaines de pages d'argumentations, lire une centaine de témoignages (dont treize sont des faux-témoignages avérés), consulter des dizaines d'actes de propriété et pour Madame Gaillard-Maunier, écarter les conclusions erronées d'un géomètre, Expert auprès des Tribunaux !!!

Parlons d'ailleurs un peu de cet "expert" qui, lui, n'honore pas sa profession. Il a rendu un avis en reprenant tel quel les conclusions du rapport qu'un de ses confrères avait fait pour mes adversaires. J'ai été obligé de faire appel à mon tour à un autre géomètre-expert pour invalider le rapport de cet expert auprès des tribunaux. Et donc la juge a été obligée de reprendre complètement à son compte l'étude des dizaines d'actes de propriété, pour aboutir à cette phrase plus délicate que ma prose :
"Dans ces conditions, le rapport sera déclaré régulier, étant précisé
que les conclusions expertales ne s'imposent pas au tribunal
"
Une satisfaction néanmoins : la condamnation de mes adversaires à payer l'intégralité des honoraires de cet expert : 3 756, 13 euros tout de même !...

En définitive, il est clair que ces juges, et leurs collègues, ne savent pas très bien ce que veulent dire "les 35 heures". Et en ces temps où on dit qu'il y a trop de fonctionnaires, avant de se demander s'il y a trop de juges, on devrait commencer par trouver le moyen de dissuader les plaideurs abusifs de continuer à jouer pour leur profit avec la machine judiciaire.

mardi 18 septembre 2007

Un autre trou, celui de la Sécu

J'ai connu Jean de Kervasdoué au début des années 70 alors que je préparais, avec un petit groupe de français, un PhD à l'Université du Texas à Austin. Fiers de nos compétences croissantes dans la langue anglaise, nous lui avions donné un surnom : de Kervas-gifted ! Et doué, il l'était. Il a depuis fait une brillante carrière dans le domaine de la santé, qu'il termine au CNAM.
Il publie de temps en temps des articles dans le Monde, du genre de ceux qu'on lit jusqu'au bout.
Ci-dessous un extrait de son dernier article dans Le Monde du 14 septembre 2007, dans lequel il continue de plaider pour une réduction des dépenses du système de santé français :
Le déficit officiel de la Sécurité sociale atteindrait, nous dit-on, 12 milliards d'euros. En réalité, il dépassera les 14 milliards.
...
Peu importe que d'autres pays dont la population est plus âgée et la médecine plus moderne (Japon) aient des résultats sanitaires meilleurs en consacrant 2 % à 3 % de leur PIB de moins que la France à leur système de soins (Italie, Espagne, Suède)... L'hypocondrie des Français résonne avec l'intérêt des acteurs du système de santé et le déficit se creuse dans l'indifférence.
...
On arrive à contrôler les dépenses de soins si, et seulement si, l'on croit que c'est possible et légitime. La Suède, le pays le plus dépensier des années 1970, a obtenu des résultats spectaculaires tant du point de vue économique que sanitaire : elle a la plus longue espérance de vie en Europe et ne consacre à ses soins « que » 9 % du PIB, soit 2 points de moins que la France (de l'ordre de 38 milliards d'euros).
Plutôt que d'aller voir chez le voisin comment il pourrait limiter ses dépenses de santé, je me suis demandé comment moi je pourrais le faire... J'ai repris tous mes relevés de dépenses sur une année, voilà ce que cela donne :
  • Médecin : 131 euros
  • Pharmacie : 284 euros
  • Laboratoire AM : 110 euros
  • Radio : 157 euros
  • Kinésithérapeute : 159 euros
Pour un total de 841 euros, je ne sais si c'est beaucoup ou peu ou dans la moyenne d'une personne de mon âge. Mais en y regardant de plus près, je remarque deux dépenses dont je constate après coup qu'elles se sont avérées inutiles.
  1. Suite à des douleurs à la nuque, j'ai fait une radio qui n'a rien révélé de particulier, soit 63 euros. Deux jours après, les douleurs avaient disparu.
  2. J'ai fait une série de séances de kinésithérapie pour tenter d'assouplir mon épaule opérée il y a une quinzaine d'années, soit 159 euros. Malgré un kiné irréprochable (ils ne le sont pas tous...), je me retrouve plusieurs mois après dans une situation identique, ni mieux, ni moins bien.
En conclusion, deux actes médicaux totalement inutiles, il suffisait d'attendre un peu pour économiser 222 euros sans aucune conséquence sur mon bien-être.

Si je multiplie ces 222 euros par les soixante millions de français, cela fait près de 14 milliards d'euros. Soit exactement le déficit de la sécurité sociale prévu pour cette année ! Etonnant, non ?

lundi 17 septembre 2007

Saunal & Froment, de l'Aveyron



Mes ancêtres maternels sont originaires de l'Aveyron, près de Saint Sever du Moustier et de Villefranche de Rouergue.


samedi 15 septembre 2007

Mais où est donc passé le trou dans la couche d'ozone ?

Quand je suis arrivé en Suisse au début des années 80, un sujet de discussion brûlant était alors la "mort des forêts". C'était la faute des "pluies acides" ainsi que des gaz d'échappement des voitures et camions. C'est ainsi que l'on a vu une limitation à 90 km/h de la vitesse sur les autoroutes traversant les petits cantons du centre de la Suisse. D'importants budgets de recherche furent affectés à l'étude de ce problème et à la préconisation de solutions envisageables.

Et puis, à part quelques ravages dus aux bostryches, on a en fait constaté que la forêt se portait à merveille. Universitaires et écologistes locaux ont eu l'honnêteté, dix ans plus tard, de reconnaître qu'ils s'étaient complètement trompés.

Et donc au début des années 90, on a embrayé sur la "couche d'ozone", catastrophe annoncée génératrice de cancers de la peau... C'était la faute aux CFC, gaz propulseur de nos bombes aérosols. Même si on voyait mal pourquoi le trou dans la couche d'ozone se trouvait plutôt au pôle Sud, dans un hémisphère peu consommateur de ces bombes aérosol... Mais une nouvelle occasion pour une autre couche, celle-là de budgets de recherche sur le problème !

Qui donc nous parle de cette fameuse couche d'ozone maintenant ? Là, pas de remords des scientifiques et écologistes, le remplacement des CFC par du CO2 dans les bombes pouvant expliquer l'évanouissement du problème.

CO2, vous avez dit CO2 ?...

Maintenant, c'est le CO2 et le réchauffement climatique qui sont sur le devant de la scène. Et toute la communauté scientifique et écologique de se focaliser sur ce nouveau cheval de bataille.

Loin de moi l'idée de nier la réalité de ce réchauffement climatique. Mais mon expérience d'ancien universitaire m'a appris que pour obtenir des budgets de recherche, il était nécessaire que le sujet soit à la mode et médiatiquement porteur. Et je ne peux que constater une corrélation entre les sujets "brûlants" du moment et les thèmes de congrès scientifiques de mes anciens collègues.

Pourtant, le retour à l'équilibre est notre destinée car comme le disait Eddington "L'entropie est la flèche du temps".

Tout cela pour regretter aussi que l'on s'occupe trop de thermodynamique et pas assez d'humanité.

mercredi 12 septembre 2007

Subprime : qui perd, qui gagne ?

Il y a un an, mon amie O. de Genève, proche de la retraite me parlait de son petit capital à placer pour plus tard. Le confier à la banque lui rapportait entre 1,50% et 2%, ce qui la choquait alors que certains "gestionnaires de fortune" promettaient entre 8% et 10%. Je lui ai dit qu'un tel rendement avec un tout petit peu de garantie, cela n'existait pas !... Mais elle a quand même placé son argent ainsi.
Il y a six mois, quand je lui en reparlais, elle me disait qu'elle recevait des relevés mensuels faisant état d'intérêts entre 7% et 9%...
Depuis est arrivé l'affaire des "subprimes", même si la crise immobilière aux Etats-Unis date maintenant de 2 ans. Je recopie ici ce qu'en disait Gérard Verna récemment dans son blog "La vie n'est pas juste" :

Le pauvre et le golden boy : histoires de subprimes
La crise financière actuelle me semble être très révélatrice de la cupidité et du cynisme qui règnent sur le monde de la finance dont les responsables, jusqu’à certains assez bas échelons, sont si scandaleusement payés qu’ils n’ont plus aucun contact avec la réalité quotidienne.
L’idée de « subprime » est contraire à la morale et à la raison. Elle consiste à prêter, de l’argent, à des taux plus élevés que ceux du marché, pour permettre d’acheter une maison à des gens qui n’auront probablement pas les moyens de la payer et ne satisfont déjà pas aux obligations d’un crédit normal.
Un petit golden boy a inventé ça, le nez probablement plein de cocaïne, dans un passé récent où la situation lui permettait de ne prendre aucun risque : Il prenait sa garantie sur la maison et en cas de défaut de paiement la faisait revendre. Comme le marché immobilier était alors en pleine expansion – comme en France actuellement – il était sûr que la maison aurait pris de la valeur et qu’il n’y avait donc aucun risque.
Mais, comment résister à une mauvaise combine qui marche ? Après une ligne de coke de plus, il est facile de décider d’étendre le dispositif pour montrer à tout le monde à quel point on est malin. Jusqu’au jour où on s’aperçoit qu’on a tellement vendu de maisons à des pauvres que le marché immobilier est en train de s’effondrer et qu’il n’y a plus personne pour racheter les maisons de pauvres que cherchent à vendre les pauvres en faillite.
Salauds de pauvres ! Ils nous ont encore tout foutu en l’air !
Je n'ose plus évoquer cette histoire avec mon amie O.

Mais mon impression, c'est qu'au moins deux groupes ont trinqué : le jeune couple californien qui a perdu sa maison, et la pré-retraitée européenne qui a vu fondre son pécule...

Aux deux bouts de la chaîne. Quid entre les deux ???

http://verna.blog.lemonde.fr/2007/08/17/le-pauvre-et-le-golden-boy-histoires-de-subprimes/

lundi 10 septembre 2007

Pétaloup

Mes ancêtres paternels sont originaires du Mont Pilat, massif montagneux situé entre Lyon, St Etienne et Valence. Mon arrière-grand père Jean-Pierre, facteur rural, avait épousé Françoise Croze, et s'était installé dans la belle famille à Pétaloup, sur la commune de St Régis du Coin. Sur cette photo de la maison "de famille" on voit mon grand-père Gabriel au centre, entouré de ses trois fils Pierre, François et Charles. En bas complètement à gauche, Charles Lubac, beau-frère de mon arrière grand-mère Françoise Croze.


En Vénétie, dans la région d'où est originaire mon épouse, il y a une expression pour parler d'un homme qui va s'installer chez les parents de sa femme. On dit qu'il est "capellan". Le terme évoque "chapeau", celui que le marié accroche en entrant dans sa nouvelle maison, ou "chapelain", du nom du prêtre qui arrivait dans la paroisse d'un curé.

vendredi 7 septembre 2007

Mieux que l'obsolescence planifiée

Comment un excellent produit - certes cher mais idéal quant à la qualité de ce qu'on attend de lui - peut-il augmenter son chiffre d'affaires ? En obligeant le consommateur à renouveler son achat parce que, maladroit, il l'a cassé...

Cette lime à ongles est un remarquable exemple de ce marketing d'un nouveau genre :


Très efficace avec sa rape en céramique à trois faces et trois grains différents, on ne fait pas mieux. Un seul problème, elle est fragile car la céramique casse comme du verre, donc il faut faire attention. Mais avez-vous remarqué sa forme ? Bien ronde, elle roule aisément vers le bord de la table et boum ! par terre, vous avez maintenant 3 bouts de lime inutilisables...

A la deuxième lime que ma femme a cassée, elle a cherché, et trouvé, un nouveau modèle. Encore plus pratique, puisque tel un stylo, on peut l'accrocher par le capuchon/lime. J'ai scanné pour vous le dernier exemplaire de cette merveille :


Dernier exemplaire car nous en avons cassé 2 autres entre temps (un bleu, puis un rouge) parce qu'en le tenant par le couvercle qui tient mal (un hasard ?) sur le capuchon, la lime est tombée, et plan ! d'autres bouts de lime pour la poubelle.

La merveille de marketing ici, c'est de faire ressentir par le consommateur que c'est lui qui est fautif parce que maladroit !!! J'appelle cela du "design crapuleux".

mercredi 5 septembre 2007

Sémantique moderne...

Mon intérêt pour la nouvelle chanson française, et notamment pour Emily Loizeau, m'a amené sur son site où il apparait à la rubrique Contacts que son manager est Gloria. Et si l'on va sur le site de ce dernier on constate en effet qu'Emily figure à son catalogue...
Catalogue ?
Cela me fait penser à Jeanne Cherhal, dont on dit qu'elle est maintenant dans l'écurie Universal, après le rachat par ce dernier de Tôt ou Tard...
Ecurie ?
La sémantique moderne ne ferait-elle que refléter cyniquement la marchandisation de notre société ?
A choisir entre catalogue et écurie, je préfèrerais, pour ce qui me concerne, être un canasson - même âgé - dans une écurie qu'un fauteuil - même confortable - dans le catalogue d'Ikéa.

D'autant que pour cette pauvre Emily, figurer au catalogue de Gloria (Madame ?) a un petit côté Escort Girl fort déplaisant.

http://www.emilyloizeau.net
http://www.gloria-consulting.com/body.php?lg=fr&page=catalogue

mardi 4 septembre 2007

Mes ancêtres


Voyage en Libye, avril 2000

Nous avons fait un beau voyage, (dans l’Akakous et le Messak de Mourzouk)

Vers des terres et des cieux différents, des espaces élargis et comme pris dans les forces naturelles - chaleur, ou vent, ou … - qui s’y répandent, sans obstacle ;
L’eau, si rare, y donne tout à coup une sensation, de pureté, de vraie fraîcheur.
Le désert, comme une mer, sur laquelle on serait debout, et l’horizon tout autour, très, très loin.

Le désert des montagnes, masse de rochers tourmentés, émergeant de la dune envahissante – comme un commencement du monde. Le contraste des couleurs, sable / noir / ocre / rose – des touffes parfois fleuries, géraniums sauvages ou coloquintes, toutes sortes de lézards, des oiseaux.

Là, on a vu des peintures …


Le désert noir, caillouteux, brillant de chaleur ; proprement infernal, sous sa " croûte " oxydée par la sécheresse ;


A perte de vue … parfois, un simuli de tumulus, parfois une pierre d’entrave, parfois aussi une légère et large dépression – très ancien canyon – repérable aux sables plus clairs qui affleurent, aux touffes de plantes, aux acacias superbes.


Là , sont des gravures …


Et puis le désert des dunes





Ondulations libres et douces, lumineuses comme offertes au soleil, jouant avec la brise, (ou avec le vent, et tout devient gris) ;




Les palmeraies, aux lacs verts, y sont comme des joyaux.
Les 4X4 y font des galipettes, s’y roulent comme dans des édredons.
Avant d’aborder cette zone aride et belle, nous avions parcouru deux villes romaines magnifiques au bord de la mer :




Sabratha, rose,



Avec ses monuments puniques, Son théâtre si élégant …








Et Leptis Magna, la grande, ses avenues,






Ses basiliques, son forum,


Ses marchés, son théâtre,



Les thermes d’Hadrien si raffinés, cirque, champ de courses …

Nous avons voyagé avec des amis, de vrais amis avec lesquels nous étions vraiment à l’aise,



Et nous nous sommes bien amusés !


Les guides nous ont été très sympathiques, les équipes furent très efficaces


L’organisation et la préparation avaient été parfaites, et la mallette secouriste de Christiane nous a tranquillisé l’esprit.
Une pure parenthèse de bonheur !
Et notre debrief, autour de la " chorba " cuisinée par Jean-Claude, avec photos en long et en large, et les documents complémentaires apportés par Catherine, notre guide française (Le Comptoir des Déserts), y mit un point d’orgue.
Que tous les voyages soient aussi réussis.

Texte de Lise-Marie Bosse-Platière

dimanche 2 septembre 2007

Emily Loizeau chante

.

Oman, mars 2007

.

Venise

.

Les 4 procès intentés par les Feuillie et les Dencausse, et tous perdus par eux

Référés : Les FEUILLIE et les DENCAUSSE voulaient que nous dégagions notre cour de toutes les plantes qui s'y trouvaient depuis longtemps

Tribunal d'Instance : Les FEUILLIE voulaient obtenir la possession et le droit de passage sur une bande de terrain nous appartenant

Tribunal de Grande Instance : Les FEUILLIE et les DENCAUSSE voulaient que la cour nous appartenant soit déclarée propriété commune

Cour d'Appel du Tribunal Correctionnel : Les FEUILLIE m'accusaient d'avoir tenté de heurter leur fils avec ma voiture

Comment j'ai résisté au harcèlement de mon directeur, et triomphé !