J'ai parlé précédemment d'un exemple de design que j'avais qualifié de "crapuleux". Cette fois-ci, je voudrais évoquer le cas du chargeur de mon téléphone portable.
Même s'il a plus de 3 ans d'âge, il s'agit d'un exemple de conception incompréhensible de la connexion de mon portable à son chargeur.
Comme on le voit sur la photo, la connexion avec le chargeur se fait par un embout plat, assez large, flanqué de deux ergots. Les ergots, au repos, sont écartés, et donc pour entrer le connecteur, on appuie sur deux "poussoirs" qui les font rentrer. Quand on lâche ces poussoirs, les ergots ressortent à l'intérieur et bloquent la connexion.
Evidemment, ces ergots qui dépassent ont tôt fait de se tordre, de s'écarter et il faut alors faire des contorsions pour arriver à introduire cet emboût dans le téléphone.
Et pour le transport en voyage, je scotche minutieusement l'ensemble pour éviter les dommages à ces fameux ergots. Quand je vous disais "calamiteux"...
Même s'il a plus de 3 ans d'âge, il s'agit d'un exemple de conception incompréhensible de la connexion de mon portable à son chargeur.
Comme on le voit sur la photo, la connexion avec le chargeur se fait par un embout plat, assez large, flanqué de deux ergots. Les ergots, au repos, sont écartés, et donc pour entrer le connecteur, on appuie sur deux "poussoirs" qui les font rentrer. Quand on lâche ces poussoirs, les ergots ressortent à l'intérieur et bloquent la connexion.
Evidemment, ces ergots qui dépassent ont tôt fait de se tordre, de s'écarter et il faut alors faire des contorsions pour arriver à introduire cet emboût dans le téléphone.
Et pour le transport en voyage, je scotche minutieusement l'ensemble pour éviter les dommages à ces fameux ergots. Quand je vous disais "calamiteux"...
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