mercredi 30 avril 2008

Venise 3 : 7 adresses

Garer la voiture au parking à l'aéroport Marco Polo

Si vous venez à Venise en voiture et que vous y restez, comme il se doit, plusieurs jours, vous payerez une fortune si vous garez dans Venise même (20 euros par jour). Une meilleure solution consiste à garer à Mestre à 50 mètres avant d'arriver à la gare, il vous en coûtera de l'ordre de 8 euros par jour, et il y a des trains toutes les 1/4 d'heure à peu près pour Santa Lucia.
Mais le moins cher reste le parking longue durée de l'aéroport Marco Polo : 5 euros par jour, 27 euros la semaine, et le bus N°5 vous amène ensuite à Venise en 20 minutes. Attention, consultez la carte ici pour repérer ce parking, il faudra impérativement faire une réservation. Une navette vous en ramène à l'aéroport.

Savourer une glace (Gianduiotto en particulier) chez Nico, le glacier des Zattere

Une adresse bien connue. Mais ce qui se fait de mieux pour apprécier la vue sur la Giudecca le long des zattere.

Siroter un Spritz au retour des îles chez Algiubagio


Sur les Fondamenta Nuove, face à l'île San Michele et son cimetière, avec Murano en arrière-plan, quand le soleil baisse derrière l'église des Gesuiti, il est bien agréable de prendre son apéritif vénitien dans ce lieu de départ des vaporetti vers les îles du nord. Le plus difficile, c'est d'arriver à prononcer correctement le nom de ce bar ! Et sans escamoter le "O" ouvert final...


Acheter (quand même) du verre à Murano chez Cose Cosi

Entrer dans une boutique de verre de Murano, c'est se retrouver face soit à de la camelote, soit à de belles pièces très chères. On est donc content de tomber sur un magasin qui possède de belles petites choses, et abordables.



Offrir une gravure correcte de Le Stampe


Même remarque pour les gravures que pour le verre de Murano. Et ce magasin que je recommande est sur ce que j'appelle "une route jaune" : en jaune sur les plans, ce sont les rues très fréquentées jalonnées de pancartes jaunes indiquant "Ferrovia", "San Marco" ou "Accademia". J'essaie de les éviter. Ici on est entre Rialto et San Stefano.

Ecouter un petit concert de musique baroque à la Fondation Querini Stampalia


A 17 et 19 heures le vendredi (et aussi le samedi), la Fondation Querini Stampalia organise un petit concert de musique vénitienne avec des étudiants ou professeurs de musique des environs ou de passage. Une trentaine de places, une petite demi-heure de bonheur après avoir admiré les Pietro Longhi (et Bellini) du musée. C'est gratuit (en dehors du prix d'entrée au musée) et mieux vaut s'installer en avance. Et se dépêcher d'y aller : il est question que ces concerts soient arrêtés...

Préparer son voyage avec les sites internet sur Venise

e-Venise.com : une mine de renseignements pratiques
TraMeZziniMag : la référence absolue pour les amoureux (un peu intellos) de Venise
La Panse de l'Ours : actualités de Venise, tout sur les photographes et peintres de Venise
Le Campiello : pour préparer ses circuits


Et pour finir, et très accessoirement.

Se montrer au Florian


Au Spritz à 11 euros, il convient d'ajouter 6 euros de supplément pour l'orchestre qui joue dehors. Vous êtes avertis !

La maison vend de nombreux produits dérivés mais ne fournit pas de "biglietto de visita"... Je n'ai donc que cette facture à vous proposer !

Mais comme il est dit au bas de celle-ci, vous étiez

"NEL PIU' BEL SALOTTO DEL MONDO".

lundi 28 avril 2008

Venise 2 : 7 restaurants

Samedi : Da Rioba


Sepie al nero con polenta, Tiramisu, Eau, Vin : 23 euros
Cannaregio 2553 (Fondamenta della Misericordia)
Bonne qualité, prix correct






Dimanche : San Trovaso


Aubergines grillées, Queue de lotte, Café, Eau, Pinot bianco : 27 euros

Très bien situé vers l'Académie, excellent rapport qualité/prix

Lundi : Al Bacareto

1/2 Polpetti, Stinco (jarret de porc grillé), 1/2 Tiramisu, Eau, Pinot Bianco, Café : 33 euros
Près du Campo San Stefano. Bonne adresse, un peu cher mais de qualité

Mardi : Da Zorzi


Gnocchi aux épinards sauce canard, Seppie in umido con polenta, Eau, Vin, Café : 27 euros
Dans San Marco, à proximité de la Fenice et du palais Contarini Bovolo. Excellente adresse, très bon rapport qualité/prix

Mercredi : Da Romano



Turbot grillé (Rombo), Buranelli (biscuits de Burano), Eau, Vin, Café : 41 euros


Sur l'île de Burano. Du poisson irréprochable, un lieu chargé d'histoire, le prix le plus élevé de la semaine mais à ne pas manquer




Jeudi : Kalia

Rigatoni ai carciofi, Scaloppine ai funghi, Eau, Vin, Café : 16 euros

Proche de San Marco et de Santa Maria Formosa. Le moins cher de la semaine, correct comparé aux restaurants du centre rarement recommandables



Vendredi :

Nous sommes retournés au Rioba de la première journée. Je propose à la place et pour compléter 2 adresses que je testerai la prochaine fois et dont j'ai entendu dire beaucoup de bien.

Dalla Marisa : Sur la fondamenta San Giobbe, le long du canal de Cannaregio, en face de l'arrêt du vaporetto "Tre Archi"

Mistra : sur la Giudecca, à l'arrêt "Redentore" du vaporetto

samedi 26 avril 2008

Venise 1 : 7 étals de poissons

Au marché du Rialto, fin avril 2008.













vendredi 18 avril 2008

Faites un voeu

Quand j'étais petit et que je disais que j'avais faim, on me répondait "Mange ton poing, garde l'autre pour demain".


On me disait aussi, au moment de manger le premier fruit de la saison - fraise en mai, cerise en juin, pêche en juillet - qu'il fallait "faire un voeu". Les premières fraises apparaissant, je me surprends en train de faire un voeu en croquant la première de l'année ! Pourtant, je suis plutôt rationnel, et je sais bien que ce ne sont que des fariboles. N'empêche ! Je ne peux m'empêcher de penser "On ne sait jamais !"

Ce qui me ramène encore à l'ancien temps et à cette publicité pour un slip qui disait : "Je porte un slip Kangourou, parce qu'on ne sait jamais !..."

mercredi 16 avril 2008

Du people au Quai d'Orsay

Le Ministère des Affaires Etrangères se met dans la mouvance people de notre Président. Il publie sur son site un article sur la Nouvelle Chanson Française, voilà ce que l'on peut y lire :
" Jeanne Cherhal s’est métamorphosée avec son troisième album (L’Eau) en sirène pop, zigzaguant dans les beaux arrangements de son compagnon Albin de La Simone.
Autre affaire de couple, celle qui unit Franck Monnet, l’un des meilleurs compositeurs français actuels, et sa compagne, la Franco-Américaine Emily Loizeau, descendante des chanteuses folks originelles dont elle est parvenue à traduire en français le lyrisme comme la délicatesse. "
Epouser l'atlantisme du chef de l'état au point de faire d'Emily Loizeau une citoyenne à moitié US, c'est déjà pousser un peu loin le bouchon puisque c'est faux. Mais s'étendre sur les situations matrimoniales des représentants de la nouvelle chanson française, on se demande si c'est le rôle d'un site web portant le nom diplomatie.gouv.fr.




Il en irait d'ailleurs de même pour l'ancienne chanson française. J'apprécierais peu que le Quai d'Orsay révèle que j'ai été marié avec Berthe Sylva !

lundi 14 avril 2008

Les vaches qui pleurent

Un épisode de notre voyage en 1989 dans le Hoggar et le Tassili m'avait particulièrement frappé. Cela se passait un peu au sud de Djanet, dans le Tassili des Ajjer, au lieu-dit Terarart. On y trouve un rocher d'une trentaine de mètres de haut dont la photo apparaît dans Google Earth (24°22.45 N et 9°25.57 E).


Au pied de ce rocher on découvre des gravures de vaches, et leur proximité du sol sablonneux donne l'impression qu'elles sont là en train de boire une eau aujourd'hui disparue. Et l'on voit parfaitement des larmes au coin de leurs yeux.

Notre groupe d'une quinzaine de personnes avait longuement admiré ces gravures néolithiques vieilles de plusieurs millénaires. Nous avions sympathisé avec un trentenaire qui ne cachait ni n'exhibait son homosexualité. Et face à ces gravures devant lesquelles nous devisions, j'ai été stupéfait du commentaire qu'il m'en faisait.
Il me montrait entre autres explications que certaines têtes de vaches se prolongeaient en deux corps et que simultanément, ces mêmes têtes se voyaient également selon deux perspectives différentes. Et il m'expliquait que Picasso, admirateur de l'art nègre (mais en était-ce ?) avait avec le cubisme inventé une nouvelle figuration similaire à ces lointains ancêtres. On avait devant nous l'équivalent de ces visages représentés simultanément de face et de profil.
Je constatais alors que je ne voyais pas dans cette oeuvre d'art le dixième de ce que cet ami y décelait. A cette époque, je mis ceci bêtement sur le compte du fait que "les homosexuels ont une plus grande sensibilité artistique que moi".

Maintenant, je réalise qu'il s'agit aussi, et surtout de culture et d'apprentissage. Comme me le fait découvrir le cours d'Histoire de l'Art que je suis cette année. Je vous montrerai dans un prochain billet quel béotien j'étais et suis encore en évoquant le tableau du Titien intitulé "L'amour sacré et l'amour profane" que je reproduis (*) ci-dessous :


En attendant, je vous laisse sur cette question : quelle femme représente l'amour sacré, laquelle l'amour profane ?

La suite ici

(*) Source : Web Gallery of Art

samedi 12 avril 2008

Will my heart "brake" ?

A l'issue d'un concert à Echirolles en octobre 2006, Emily Loizeau m'avait fait la dédicace suivante :
« For Jean-Claude, thank you and I hope your heart will never "brake" »

Ceci mérite une explication.
Le livret de la première édition du CD "L'Autre Bout Du Monde" en février 2006 contenait pas mal d'erreurs. Je lui en avais signalé plusieurs dans son forum dont la plus cocasse ci-dessous. Verbatim :
" Question :

« My heart is falling down
Will it brake on the ground »

Si votre coeur tombe par terre, le fait qu'il freine avant d'atteindre le sol est-il un clin d'oeil (les oizeaux font ça très bien) ou une coquille ? "
Emily signe beaucoup de dédicaces à la fin de ses concerts, à l'évidence elle sait les tourner avec élégance et humour.
Le succès de ce premier album ayant entraîné une réédition, l'erreur a évidemment été corrigée. Mais rétrospectivement, je me demande si je n'ai pas eu tort de signaler cette coquille. Le texte n'est-il pas plus joli avec cette allusion aux aéro-freins de l'oizeau ?

En prime pour aujourd'hui, une vidéo assez étonnante de la chanson "Leaving You" faite par un blogger portugais Fly que j'ai reprise sur mon site avant que YouTube ne lui ferme à nouveau son compte :


mercredi 9 avril 2008

Mon ex-future start-up !

On peut toujours rêver. Par exemple que l'on a monté/va monter une start-up dans la nouvelle économie, celle qui utilise Internet de manière innovante... Alors je vous livre, à défaut d'un business plan, une idée que je suis trop vieux pour mettre en oeuvre maintenant mais que mon incompétence managériale m'aurait de toutes façons empêché de réussir eussé-je été plus jeune pour l'envisager. J'ai juste préparé une bannière pour le site potentiel :



Voilà. Je constate que l'ascenseur social a des ratés : "de mon temps" les parents pouvaient voir leurs enfants mieux réussir qu'eux, et ainsi les aider éventuellement quand ils devenaient vieux. Maintenant, c'est souvent le contraire. Et force est de constater que les grands-parents sont de plus en plus incités à aider leurs descendants de leur vivant, ils y sont même fiscalement encouragés.
On se retrouve alors avec des grands-parents qui ont de l'argent, des enfants qui en ont moins et des petits-enfants pas du tout. Mais ces derniers ont besoin d'argent pour s'installer, et au milieu, les cinquantenaires sont parfois sur la corde raide avec le chômage qui guette certains. Mais du côté des jeunes, emprunter de l'argent coûte cher et pour les anciens, placer son argent n'est pas évident. D'où l'idée de mutualiser, au niveau de la famille aussi large que possible, l'argent possédé par les uns pour le prêter aux autres qui en ont besoin. Ce qui revient à faire au sein d'une même famille le travail de la banque qui prête l'argent que d'autres placent chez elle. Et de garder au sein de la famille les agios que ne manque pas de générer la banque ainsi by-passée.

Grâce à mon site familybank.com (en anglais, cela fait plus chic !), votre famille dispose de son espace tartempion.familybank.com, strictement réservé aux membres inscrits de votre famille et à votre notaire. Dans le pot commun, les grands-parents, éventuellement certains parents aisés mettent de l'argent, les enfants empruntent dans ce pot commun, ainsi qu'éventuellement certains parents en difficulté, et le notaire gère les contrats de prêts. Le site génère les documents notariaux, les calculs de remboursement et les échéanciers, la situation globale des ressources et emplois familiaux, les intérêts perçus par les prêteurs à des fins de déclaration fiscale, etc.
Je ne sais pas si tout cela est légal, mais on doit pouvoir arriver à contourner les obstacles. Je ne sais pas si ce n'est pas équivalent à la tontine, je n'y connais rien ! Je voulais juste dire que les trois sous dont je dispose, je préfèrerais en faire profiter ma famille plutôt que le système bancaire, qui joue d'ailleurs profil bas en ce moment, à juste titre...

dimanche 6 avril 2008

Fraises des bois sur le lac Atitlan


Noël 1972, avec notre camping-car Volkswagen, notre fils de 5 ans et notre fille de 2, nous avons quitté Austin (Texas) pour visiter le Mexique et le Guatemala (plus 18 heures d'enfer au Belize, dont je parlerai un jour). Prudents et craignant la "turista", connue là-bas comme "Moctezuma's Revenge", nous étions partis les coffres pleins de nourriture "civilisée". Et nous fûmes préservés...

Ou presque !!!

C'est vers le jour de l'an que nous sommes arrivés près du lac Atitlan, un superbe lac de cratère lui-même surmonté d'autres volcans, proche d'une ville mythique : Chichicastenango. Rien que de prononcer ce nom, et l'on retrouve les couleurs des "wipils" des paysannes, les odeurs d'épices du marché où elles vendent leurs légumes et le brouillard d'encens brûlé au pied de l'église tout à côté.
Nous passâmes 2 nuits dans un petit hôtel sur le bord du lac pour récupérer un peu du début du voyage. C'est là qu'au restaurant une petite fille vint nous proposer de magnifiques fraises des bois dans une feuille de bananier. Ma fille en voulait absolument, et nous oubliâmes la prudence que nous avions observée jusqu'alors.
Retour à Guatemala City pour y passer la nuit, puis départ le lendemain après manger direction Tikal via le lac Izabal. Arrêt à Quirigua pour voir quelques stelles mayas, et là, notre fille commence à vomir. On continue, passe le bac que l'on doit franchir avant de partir plein nord dans la jungle vers Tikal. Et notre fille de continuer à vomir... Arrêt à la fin du jour, qui arrive dès 6/7 heures le soir sous ces lattitudes et à cette époque de l'année. Et tout ce que l'on donnait à notre fille à boire ou à manger était immédiatement rejeté. Inquiétude, sachant qu'à 2 ans, un enfant peut se "vider" très rapidement.

Décision de retourner illico à Guatemala City. Avec de la chance nous avons pû reprendre le dernier bac, et à minuit on se réinstalle à l'hôtel quitté quelques heures auparavant. Le lendemain, le consulat de France nous indique le nom d'un médecin qui vient voir la petite. Déshydratation importante, quelques pilules, beaucoup boire, carottes et riz, et on attend 36 heures avant de repartir. Par précaution, on passe la nuit à Puerto Barrios pour s'assurer que tout va bien en attendant de prendre la piste pour Tikal (circuit jaune, après l'aller-retour 3 jours avant en bleu sur la carte).

Mais nous n'étions pas fiers... Que se serait-il passé si nous avions hésité un peu plus avant de revenir et qu'il n'y avait plus de bac pour traverser le lac Izabal ?..
Un petit diaporama de ce voyage presque parfait.

jeudi 3 avril 2008

Asus EeePC

Après mon Apple II acheté en août 1980, j'ai toujours eu un ordinateur portable que je remplaçais tous les 2 ans à peu près. Le premier fut un Olivetti de 8 kilos, plutôt transportable que portable avec ce poids respectable. En ce milieu des années 80, mon utilisation de ce portable pendant mes cours à l'Université de Genève laissait rêveurs mes collègues...
Durant les années 80 et 90, chaque nouvelle machine que j'achetais coûtait 3 000 dollars à peu près. Toshiba, Dell ou Packard Bell, il s'agissait en général de la machine juste en dessous du modèle le plus puissant de l'époque. Au début des années 2000, la même machine a vu son prix tomber dans les 2 000 dollars. Grosso modo le prix de mon dernier Dell 9400 qui a plus d'un an maintenant.
J'ai rarement été impressionné par un nouvel ordinateur (à part le premier Mac), mais c'est ce qui m'est arrivé avec le dernier que j'acheté pour mon épouse : l'Asus EeePC 701 qui vient de sortir. Là, on tombe sous les 500 dollars (299 euros), c'est un saut considérable même s'il ne s'agit plus d'une machine "juste en dessous de la plus puissante du moment". Mais à part l'édition vidéo qui est hors de sa portée, force est de constater que cette machine de la catégorie "Ultraportables Low Cost" renferme pratiquement tout ce dont on peut rêver aujourd'hui.
Ci-dessous une photo que j'ai prise en me filmant face à la web cam sur fond d'une page internet de ce blog. La tasse à café donne une idée de la grandeur de la machine, qui pèse avec sa batterie moins d'un kilo !



Cette machine, sous Linux (Xandros) est opérationnelle moins de 30 secondes après l'allumage (combien de temps pour votre PC sous Windows ?), dispose d'un Wifi très efficace. Avec Skype, nous avons pû discuter et voir nos petits enfants en Allemagne pour 0 centime. Mes vidéos se lisent parfaitement sur un écran certes petit mais très lumineux. Et rien n'empêche de le connecter si nécessaire sur un moniteur externe. L'équivalent de Word, Excel et Cie est disponible avec OpenOffice. Robuste puisqu'il n'y a aucune partie mobile à part le ventilateur. Seulement 4Gb de stockage, pris en partie par les programmes, j'ai donc acheté pour 32 euros une carte mémoire flash de 8Gb. Immédiatement reconnue comme "disque interne", elle permet de voir venir.
J'attends encore une raison de regretter cet achat. Au point que mon épouse se demande si j'ai commandé cette machine pour elle, ou pour moi !