Confortablement assis dans mon fauteuil, je m'apprête à voir le film "Les liens du sang".
Début avec présentation du cadre général. Comme je sais que l'action se passe dans les années 70, après que Cluzel aît passé 10 ans en prison, je me dis que les couleurs un peu brunâtres
doivent imiter une sorte de sépia pour faire "vieux". Puis je me dis que c'est pour faire des flash-backs. Mais comme ces couleurs marronnasses continuent, je me reconstruis l'histoire en me rendant compte qu'il n'y a pas vraiment de flashbacks. Le temps de me remettre dans une certaine unité de temps, je me demande si cela a été filmé en DV. Mais l'image n'est pas pixellisée, juste "sale". Même mes vidéos à moi sont plus lumineuses. On est déjà à la moitié du film, et j'en conclue que ces couleurs insupportables sont un parti pris esthétique. L'histoire est intéressante, le jeu des acteurs excellent, mais cela ne m'empêche pas de continuer à me demander "Mais pourquoi des images aussi ternes ?" Comme en plus il y a des gros plans, les visages terreux ne mettent pas en valeur le pauvre Guillaume Canet, plutôt mignon aux dires du public féminin. Je sors du film et j'en suis encore à me demander si en fait c'était le projecteur de la salle qui était fautif. Ce qui n'est à l'évidence pas le cas.
Bref, un film gâché par une image "dégueulasse", tout simplement.
Début avec présentation du cadre général. Comme je sais que l'action se passe dans les années 70, après que Cluzel aît passé 10 ans en prison, je me dis que les couleurs un peu brunâtres
doivent imiter une sorte de sépia pour faire "vieux". Puis je me dis que c'est pour faire des flash-backs. Mais comme ces couleurs marronnasses continuent, je me reconstruis l'histoire en me rendant compte qu'il n'y a pas vraiment de flashbacks. Le temps de me remettre dans une certaine unité de temps, je me demande si cela a été filmé en DV. Mais l'image n'est pas pixellisée, juste "sale". Même mes vidéos à moi sont plus lumineuses. On est déjà à la moitié du film, et j'en conclue que ces couleurs insupportables sont un parti pris esthétique. L'histoire est intéressante, le jeu des acteurs excellent, mais cela ne m'empêche pas de continuer à me demander "Mais pourquoi des images aussi ternes ?" Comme en plus il y a des gros plans, les visages terreux ne mettent pas en valeur le pauvre Guillaume Canet, plutôt mignon aux dires du public féminin. Je sors du film et j'en suis encore à me demander si en fait c'était le projecteur de la salle qui était fautif. Ce qui n'est à l'évidence pas le cas.
Bref, un film gâché par une image "dégueulasse", tout simplement.
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